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L'UFICT, le syndicalisme CGT spécifique aux cadres.

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Pour un management alternatif

5 octobre 2017 4 05 /10 /octobre /2017 11:12
La loi travail en BD

Une BD pour comprendre facilement la loi travail

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29 août 2017 2 29 /08 /août /2017 11:23
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29 août 2017 2 29 /08 /août /2017 11:11
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16 mai 2017 2 16 /05 /mai /2017 06:22
Ordonnances : la pilule risque de ne pas passer

L'actualité sociale a eu bien du mal à se frayer un chemin ces dernières semaines en dépit de quelques dossiers lourds tels que Tati, Whirlpool, GM&S, mais elle pourrait vite reprendre ses droits à en juger par les première annonces sur la méthode Macron.

Parmi les mesures proposées par le chef de l'État, les syndicats s'inquiètent à juste titre de la réforme du droit du travail par ordonnances. Le référendum à l'initiative de l'employeur, le plafonnement des indemnités prud'homales ou l'étatisation de l'assurance chômage sont autant de lignes jaunes que le nouvel élu compte bien franchir tout en se déclarant légitime pour le faire.

Mais, porté par un vote contre la perspective de l'extrême droite et non par une adhésion majoritaire à son programme, Emmanuel Macron aurait tort d'ignorer les avertissements lancés quelques jours avant son investiture et de se laisser griser par les encouragements de Pierre Gattaz.

Son choix de recourir aux ordonnances n'est pas du goût des syndicats. Ainsi la CGT « appelle solennellement Emmanuel Macron à renoncer à imposer de nouveaux reculs sociaux par ordonnance ou 49-3 ». Jean-Claude Mailly, secrétaire général de Force Ouvrière a aussi prévenu qu'« il y aura problème » s'il persistait à vouloir procéder de la sorte.

Mais du côté des syndicats qui n'étaient pas dans l'intersyndicale qui a combattu la loi Travail en 2016, la célérité et l'empressement annoncés de Macron ne font pas recette non plus. Les réformes envisagées « ne seront acceptables et acceptées que si, et seulement si, le nouvel exécutif respecte les fondements du dialogue social », a averti la CFTC. « Le recours aux ordonnances n'est pas, d'après nous, la méthode la plus adaptée pour légiférer, surtout quand il s'agit d'un sujet aussi sensible que la modification du Code du Travail », relève Luc Bérille pour l'Unsa dans une tribune publiée dans La Croix. Tandis que si le secrétaire général de la CFDT n'a pas critiqué le principe de la méthode de réforme par ordonnances, il critique le calendrier annoncé par Emmanuel Macron, qui veut aboutir dès l'été à une réforme du Code du Travail. « Je souhaite une discussion franche et ouverte, et je pense qu'il faut laisser le temps, j'ai un peu peur de la précipitation sur des sujets aussi lourds que ça », a déclaré Laurent Berger.


« Emmanuel Macron n'a pas du tout l'intention de brutaliser les Français » a tenté de rassurer Ségolène Royal qui s'est improvisée dans le service après-vente de la méthode Macron. « Comme nous tous, il a été choqué par l'usage du 49-3 par le gouvernement précédent. Ça ne sera pas sa méthode, ça je peux vous le dire », a-t-elle assuré... sans pour autant rassurer. L'ancienne ministre avait été tellement choquée que plus personne ne s'en souvient.

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15 mai 2017 1 15 /05 /mai /2017 06:15
Emmanuel Macron élu : nous ne le laisserons pas ratifier le Ceta ! Communiqué commun de la CGT, Aitec, Attac, Collectif Stop Tafta, Confédération paysanne

Emmanuel Macron sera le Président en charge de soumettre le Ceta à la ratification française. Le collectif Stop Tafta et Ceta rappelle qu’une consultation impliquant réellement les citoyen-ne-s est un impératif démocratique et lance, en amont des élections législatives, de nouveaux outils de mobilisation contre ce traité.

L’entrée en vigueur du Ceta, l’accord de commerce et d’investissement entre l’UE et le Canada, entraînerait des conséquences désastreuses et irréversibles sur la santé, l’agriculture, l’emploi, le climat, l’environnement et les services publics. Les mécanismes de coopération réglementaire et de règlement des différends investisseur-Etat menacent profondément notre démocratie, en France et en Europe, déjà fragile. C’est pourquoi, loin de toute forme de repli sur soi [1], des pans entiers de la société civile dénoncent depuis des mois les dangers du Ceta (associations, syndicats et syndicats agricoles, parlementaires de différents bords politiques, etc.). En décembre, la Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme, autorité administrative indépendante, a également émis de fortes inquiétudes [2]. Même la légalité de cet accord est contestée [3].

Une semaine avant son élection, Emmanuel Macron, qui a toujours défendu le Ceta lorsqu’il travaillait auprès de François Hollande ou comme ministre de l’Economie, a dit qu’il entendait désormais les « doutes » et les « incertitudes » et qu’il commanderait à une commission d’experts un rapport sur les « conséquences environnementales, sur la santé, de cet accord » et qu’il s’engageait à revenir vers la Commission européenne et les Etats membres pour, le cas échéant, « faire modifier ce texte » en fonction des conclusions de cette commission. Le Collectif Stop Tafta et Ceta, qui travaille depuis des années à décrypter ces accords et à mobiliser face à leurs dangers, insiste sur l’urgence : 90% du texte du Ceta va entrer en vigueur dès cet été [4] et le texte n’est plus amendable : un État membre ne peut que le rejeter intégralement, ce que nous demandons. Une consultation sur la ratification impliquant réellement les citoyen-ne-s est un impératif démocratique.

Afin de faire barrage à la ratification par la France de ce traité toxique, le collectif Stop Tafta et Ceta lance de nouveaux outils de mobilisation :
- il appelle les citoyen-ne-s et les organisations locales ou nationales à s’engager contre le Ceta en signant l’initiative « Stop Ceta » sur
www.stop-ceta.fr ;
- il invite à interpeller les candidat.e.s aux élections législatives pour qu’ils et elles se positionnent sur
www.legislatives-ceta.fr, afin d’éclairer le choix des électeurs et de mobiliser la future assemblée nationale sur le sujet.

Alors que la Commission européenne négocie actuellement d’autres accords de libre-échange présentant le même type de menaces (avec le Japon, le Mexique, le Viêtnam, les pays du Mercosur, etc.) et que les discussions avec les Etats-Unis sur le Tafta pourraient reprendre prochainement, le nouveau Président et les futur-e-s député-e-s devront, s’ils ou elles veulent endiguer la défiance vis-à-vis des institutions européennes, mettre enfin un terme à cette politique commerciale qui place l’intérêt des multinationales au-dessus de l’intérêt général.
Montreuil, le 11 mai 2017

Notes
[1] Conscient des risques croissants d’instrumentalisation par l’extrême droite du rejet populaire et légitime du Ceta, le collectif Stop Tafta et Ceta a publié dès juin 2015 un texte de clarification : http://bit.ly/2qHHsHk. Loin de toute tentative de repli sur soi, le collectif et ses membres visent à alerter sur les menaces antidémocratiques que représentent des accords tels que le Tafta et le Ceta.
[2] Voir le communiqué accompagnant la publication de l’avis de la CNCDH, « Ne sacrifions pas les droits de l’homme aux intérêts commerciaux – L’exemple du Ceta », 16 décembre 2016,
http://www.cncdh.fr/node/1519
[3] Le Conseil constitutionnel a été saisi en France pour vérifier la compatibilité du Ceta avec la Constitution (voir ici : http://bit.ly/2l6JoWM). Nous réclamons par ailleurs que la Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE) soit également saisie, car la compatibilité du Ceta avec les Traités européens est contestée.
[4] L’application provisoire de 90% du texte est prévue pour le 1er juin ou le 1er juillet, avant que les Parlements nationaux soient consultés. L’accord n’entrera en vigueur complètement qu’après la ratification nationale des 28 Etats membres européens (ou 27 si le Royaume-Uni a déjà quitté pleinement l’UE d’ici là).

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2 mai 2017 2 02 /05 /mai /2017 06:50
[Cadres Infos 731] Définanciariser l'entreprise

Un sujet qui concerne également les services publics

 

Manifeste pour définanciariser l’entreprise et restaurer le rôle contributif de l’encadrement - 

Comment définanciariser l’entreprise ? - 

Les IRP face à la financiarisation de l’entreprise - 

 

Définanciariser l’entreprise et le travail doit être au cœur du débat présidentiel. Pour sortir – enfin ! - de la crise, mais surtout pour répondre aux enjeux d’aujourd’hui et de demain : développer un modèle de production et de consommation soutenable à long terme et respectueux des ressources environnementales, mais aussi pour construire le numérique autrement en empêchant la captation des richesses par les géants du numérique. Une distribution record de dividendes et 63 000 faillites d’entreprises en France en 2015, ces deux chiffres, trop rarement rapprochés, diagnostiquent l’asphyxie de notre économie par le coût du capital des multinationales. La captation des richesses créées se fait au détriment de l’investissement - empêchant la modernisation de notre appareil productif - et des salaires - provoquant ainsi une contraction de la consommation et de la demande intérieure. Il n’y a pas de définition légale de l’entreprise. Le droit commercial ne connaît que la société de capitaux, dont l’objet social est de maximiser la rentabilité du capital investi et le droit du travail limite la responsabilité envers les salariés à l’employeur en titre. Cette carence juridique déséquilibre le système de pouvoir au sein de l’entreprise. Elle permet d’assimiler les dirigeants à de simples mandataires des actionnaires et de les intéresser au rendement du capital par un système de rémunération avec des stocks-options. Nous pouvons et devons mettre en place une nouvelle définition juridique de l’entreprise, comme collectif humain créateur de richesses, reconnaître un statut au chef d’entreprise, distinct du simple mandataire désigné par les actionnaires, et instituer une règle de solidarité avec modulation de la voix des actionnaires en fonction de la durée de leur engagement

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23 août 2016 2 23 /08 /août /2016 11:57

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9 juin 2016 4 09 /06 /juin /2016 08:24

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26 février 2016 5 26 /02 /février /2016 14:05

A lire un tract de l'Union départementale CGT de la Marne

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26 février 2016 5 26 /02 /février /2016 13:59
Loi travail : non merci ! Signez la pétition en ligne

La ministre du travail propose une réforme qui transforme en profondeur le code du travail.

Parmi les éléments proposés dans le projet actuel

☞ En cas de licenciement illégal, l’indemnité prud’homale est plafonnée à 15 mois de salaire.

☞ Les 11 heures de repos obligatoire par tranche de 24 heures peuvent être fractionnées.

☞ Une entreprise peut, par accord, baisser les salaires et changer le temps de travail

☞ Les temps d’astreinte peuvent être décomptés des temps de repos

☞ Le dispositif « forfaits-jours », qui permet de ne pas décompter les heures de travail, est étendu

☞ Les apprentis mineurs pourront travailler 10 heures par jour et 40 heures par semaine

☞ Le plancher de 24 heures hebdomadaires pour un contrat à temps partiel n’est plus la règle dans la loi (confirmation d’une loi antérieure).

☞ Il suffit d’un accord d’entreprise pour que les heures supplémentaires soient 5 fois moins majorées.

☞ Une mesure peut-être imposée par référendum contre l’avis de 70% des syndicats.

☞ Une entreprise peut faire un plan social sans avoir de difficultés économiques.

☞ Après un accord d’entreprise, un-e salarié-e qui refuse un changement dans son contrat de travail peut être licencié.

☞ Par simple accord on peut passer de 10h à 12h de travail maximum par jour. Salarié-e-s ou non : cette réforme nous concerne toutes et tous !

https://www.change.org/p/loi-travail-non-merci-myriamelkhomri-loitravailnonmerci

https://www.change.org/p/loi-travail-non-merci-myriamelkhomri-loitravailnonmerci

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