Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

 

 

 

 

 

 

L'UFICT, le syndicalisme CGT spécifique aux cadres.

Liens

Union départementale CGT de la Marne

http://www.udcgt51.fr/

 

Coordination CGT des services publics territoriaux rémois

http://cgt-services-publics-remois.over-blog.com/ 

 

Syndicat CGT Ville de Charleville-Mézières

http://cgtcarolo.over-blog.com/

 

Syndicat CGT des Agents Territoriaux de la Communauté d'Agglomération Charleville - Mézières / Sedan

http://www.cgtcomagglo08.fr/

 

Syndicat CGT du Conseil général des Ardennes 

http://www.cgtcg08.com/

 

CGT territoriaux Amiens

http://territoriaux-cgt-amiens-metropole.over-blog.com/

 

CGT Finances publiques 51

http://www.financespubliques.cgt.fr/51/

 

Conseiller du salarié 51

http://www.conseillerdusalarie51.fr/

 

Observatoire des Risques PSycho - Sociaux au sein de la Fonction publique territoriale

http://www.observatoiredesrpsauseindelafpt.fr/

 

 

Pour un management alternatif

16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 17:35

DRH : le livre noir - Jean-François Amadieu

 

Comment se décident vraiment les embauches ? De quoi dépendent réellement les salaires et les carrières ?

 

L’évaluation du personnel est-elle juste ? Si on écoutait les DRH, ils seraient dotés d’une boite à outils qui permettrait, comme par enchantement, de recruter, récompenser et promouvoir les plus compétents et les plus performants des salariés. La vérité est bien éloignée de ce conte de fées et il en résulte de flagrantes injustices.

 

Le recrutement est bien souvent irrationnel et discriminatoire : tri impitoyable des CV en fonction de la photo, de l’adresse ou du nom, tests farfelus et incursions dans la vie privée, recours fréquent à la graphologie qui n’a pas plus de fondement scientifique que l’astrologie ou la numérologie. Pire, bien des « coachs » auxquels des DRH sous-traitent l’accompagnement des cadres ont recours à des techniques ésotériques. L’obscurantisme l’emporte sur la gestion, et une très prestigieuse école de commerce française confie toutes ses formations au coaching à un professeur adepte du Tarot de Marseille ! Les salaires et les carrières dépendent plus des réseaux que des performances et les discriminations sont multiples. L’évaluation des performances est tout sauf performante : elle repose sur des critères flous ou injustes. Et tout ceci n’est qu’un bref aperçu du dossier accablant constitué par l’auteur.


Jean-François Amadieu, professeur à l’université Paris 1-Panthéon Sorbonne, spécialiste de gestion des ressources humaines et de relations sociales, a créé et dirige l’Observatoire des discriminations. Il a publié de nombreux ouvrages contribuant à sensibiliser le grand public et les entreprises aux réalités des discriminations.

 

 

 

 

 

 

 

Présentation et sommaire http://www.seuil.com/extraits/9782021099331.pdf

Partager cet article
Repost0
15 janvier 2013 2 15 /01 /janvier /2013 20:05

Les précarités dans la Fonction Publique Territoriale: quelles réponses managériales ?

 

http://www.acteurspublics.com/files/PrecariteTerritoriale.pdf

Partager cet article
Repost0
15 janvier 2013 2 15 /01 /janvier /2013 19:19

Un guide dont le titre en dit long sur les processus en cours dans les collectivités:

 

Le guide du manager territorial: en faire plus avec moins

 

http://management.manantra.com/Introduction-Faire-Plus-Avec-Moins.pdf

Partager cet article
Repost0
15 janvier 2013 2 15 /01 /janvier /2013 19:16

Flicage, pressions par l’objectif, mise en concurrence par l’octroi de primes individuelles… 
Le management musclé n’est plus l’apanage du secteur privé. Dans la fonction publique territoriale, nombre d’agents souffrent de méthodes de gestion aux antipodes de leurs missions.

 

Le 15 mai dernier, environ 300 des 744 agents de Garges-lès-Gonesse (Val-d’Oise) décidaient de se mettre en grève et de manifester, devant l’hôtel de ville, leur ras-le-bol du « management autoritaire ». Soumis à un contrôle des horaires biométriques, sommés de subir une enquête administrative pour pouvoir être déclarés en accident de travail, confrontés au maintien de contractuels dans la précarité, une bonne partie des agents gargeois ne supportent plus les méthodes de gestion imposées par leur hiérarchie. « On est une dizaine à avoir été sanctionnés parce qu’on refuse de pointer avec nos empreintes digitales », explique Jean-Marc Clarysse, élu CGT du personnel, qui affirme que son refus de se soumettre au contrôle biométrique lui a valu deux jours de mise à pied et un avertissement.

 

 « À l’état civil, les agents doivent prévenir leur chef avant d’aller aux toilettes… et on vérifie combien de temps ils y passent ! » rapporte Fabienne Saint-Blancat, responsable CGT. « On est de moins en moins nombreux, donc il faut toujours en faire plus, dans des domaines qu’on ne connaît pas toujours. On travaille pour les habitants, mais les chefs nous traitent de bons à rien, alors on n’est plus motivé », témoigne un agent à l’entretien des bâtiments. Alors que les délégués CGT dénombrent 198 agents contractuels, dont certains enchaînent les CDD de six mois renouvelables depuis plusieurs années – la municipalité arguant d’un manque de moyens pour les titulariser –, quatre hauts cadres se sont partagés fin 2011, 200 000 euros de prime au mérite, dite « prime de fonction et de résultat ». « C’est un cas pas complètement isolé, mais ça reste un exemple très caricatural des dérives du management dans la fonction publique territoriale », résume Baptiste Talbot, secrétaire fédéral de la CGT des agents territoriaux.

 

Au-delà de cet exemple extrême, les méthodes de management importées du privé imprègnent, à des degrés divers, l’ensemble de la fonction publique territoriale. « Le discours de rationalisation comptable portée par la révision générale des politiques publiques (RGPP) et la réforme des collectivités territoriales a pénétré largement les esprits : notamment par la diminution de la dotation aux collectivités, par la mise en concurrence des territoires et par le développement des primes pour individualiser les rémunérations », explique Baptiste Talbot. « Il y a une véritable mode managériale qui vient du privé, où ce qui prime c’est le respect des objectifs et des consignes, et non la qualité du travail », constate Christian Gauffer, psychologue clinicien attaché à la communauté urbaine de Strasbourg et membre du collectif CGT santé, travail, action revendicative, qui observe une « coupure de plus en plus grande entre les agents et les cadres ». « Les études qu’on a menées avec le Centre d’étude et de recherche travail, organisation, pouvoir (Certop, voir page suivante– NDLR) montrent que les agents sont obligés de déroger aux règles imposées par leur management pour bien faire leur travail », résume Philippe Verkauffer, responsable du collectif.

 

Si, en bout de chaîne de 
commandement, les agents de catégorie C souffrent de ce management déconnecté de la réalité de leur travail, certains cadres ne se satisfont pas non plus de ces méthodes calquées sur le privé. « Même en réunion de cadres, personne ne moufte : ceux qui s’expriment s’exposent à des ennuis », témoigne Chantal (*), attachée territoriale dans une grande communauté urbaine et déléguée syndicale Ugict. « C’est un management complètement dogmatique qui consiste à mettre en place un tas de projets avec des groupes de travail qui accouchent d’une souris, où l’on force les agents à remplir des tableaux de bord qui ne sont jamais exploités », décrit cette fonctionnaire de catégorie A.

 

Une perte de temps et d’énergie jugée particulièrement « contre-productive » par la syndicaliste qui estime que, contrairement au discours affiché, l’obéissance aveugle aux ordres des managers, aussi absurdes ou contradictoires soient-ils, prime sur l’efficacité réelle des mesures mises en place. Luc (*), ingénieur au service informatique d’une collectivité territoriale située en Rhône-Alpes depuis plus de dix ans, a fait les frais de la rigidité d’une administration qui se targue pourtant d’efficience, de réactivité et d’adaptabilité aux réalités de terrain. « On a vu débarquer, il y a quelques années, des managers intermédiaires pour superviser de petites équipes, témoigne le fonctionnaire. Nos métiers sont devenus de moins en moins techniques et de plus en plus gestionnaires, pour jouer les rôles de passe-plats à la sous-traitance.

 

Il n’y avait plus de régulation de la charge de travail, et la répartition des responsabilités était floue. Quand j’ai fait remonter à mon manager ces problèmes et ce que j’identifiais comme un défaut de contrôle des prestataires privés, dont les coûts ont été multipliés par deux, on m’a dit de fermer ma gueule. » Face à l’obstination de ce cadre qui affirme ne pas être un cas isolé dans son service, la hiérarchie a fait bloc au lieu d’examiner la pertinence de ses critiques. « Ils ont plaqué sur moi toutes les défaillances du service, avec inscription de ces reproches sur mon dossier d’agent qui me suivra toute ma carrière », rapporte-t-il.

 

Au-delà de la souffrance générée par ce type de management autoritaire, c’est la qualité du service public qui pâtit de ces méthodes inefficaces. « En déshabillant les fonctionnaires de leurs compétences, on perd la maîtrise par rapport aux sous-traitants privés, qui vont et qui viennent, et on ne peut plus garantir la pérennité du service public », estime Luc. « Tous ces mécanismes visent à casser l’attachement des fonctionnaires aux valeurs du service public, qui constitue pourtant le moteur de beaucoup d’agents », estime Chantal.

 

repères

 

Le décret nº 2012-170 du 3 février 2012 permet la mise en place de CHSCT dans les collectivités territoriales comptant au moins 50 agents. Ces instances remplaceront les CHS existants, et verront leurs compétences élargies aux questions d’organisation du travail. Les dispositions relatives à la composition et au fonctionnement des CHSCT s’appliqueront à compter du premier renouvellement général des comités techniques qui aura lieu en 2014.

À l’issue de la deuxième conférence sur les déficits publics, en mai 2010, les dotations de l’État aux collectivités territoriales ont été gelées sur la totalité de la période du budget triennal 2011-2013. L’enveloppe totale des dotations est fixée à 50,4 milliards d’euros.

 

http://www.humanite.fr/social-eco/comment-le-%C2%AB-management-%C2%BB-empoisonne-le-service-public-498280

Partager cet article
Repost0
15 janvier 2013 2 15 /01 /janvier /2013 19:14

Un mémoire à lire:

 

Mémoire pour le master professionnel Management du Secteur Public  

 

http://doc.sciencespo-lyon.fr/Ressources/Documents/Etudiants/Memoires/Cyberdocs/Masters/MSPCP/frey_s/pdf/frey_s.pdf

Partager cet article
Repost0
25 décembre 2012 2 25 /12 /décembre /2012 22:24
Partager cet article
Repost0
25 décembre 2012 2 25 /12 /décembre /2012 22:16
Partager cet article
Repost0
25 décembre 2012 2 25 /12 /décembre /2012 22:15
Partager cet article
Repost0
22 décembre 2012 6 22 /12 /décembre /2012 21:20
Partager cet article
Repost0
22 décembre 2012 6 22 /12 /décembre /2012 18:08

Le groupe Audace qui a travaillé, dans le cadre du projet d’administration éponyme, à la structuration d’une politique de GRH va se démultiplier en plusieurs sous groupes.

Selon les thématiques identifiées, chaque groupe de réflexion finalise le partage de la fonction RH et procède à une revue de détail des processus et procédures (sic ! le novlang n’est pas loin).

 

Les directeurs sont en conséquences invités à s’inscrire dans les groupes suivants :

  1. le recrutement et la mobilité interne qui inclus la politique d’insertion professionnelle
  2. la carrière avec les avancements d’échelon et de grade et les promotions internes
  3. les rétributions des fonctionnaires et des agents non titulaires
  4. le développement de compétences avec le plan pluriannuel à 3 ans et l’école du management
  5. la GPEC et le pilotage de la ressource humaine
  6. le parcours professionnel individualisé
  7. le bien-être au travail
  8. l’allocation de moyens avec les centres de responsabilité
  9. l’évaluation professionnelle
  10. le règlement des absences
  11. la politique sociale
  12. le dialogue social
  13. les bonnes pratiques managériales en cas de gestion de situations individuelles délicates.

Les directeurs c’est une chose. Mais les autres cadres et agents ? Seront-ils invités à prendre la parole autour de ces 16 axes ? A ce jour AUDACE est surtout le résultat d’une impulsion d’une partie de la DG et un objet approprié par une mince couche de l’encadrement (les directeurs).

 

Quant aux syndicats, comme l’a dit un DGA, « assez de leurs interférences »…

Partager cet article
Repost0