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L'UFICT, le syndicalisme CGT spécifique aux cadres.

Liens

Union départementale CGT de la Marne

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Coordination CGT des services publics territoriaux rémois

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Syndicat CGT Ville de Charleville-Mézières

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Syndicat CGT des Agents Territoriaux de la Communauté d'Agglomération Charleville - Mézières / Sedan

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Syndicat CGT du Conseil général des Ardennes 

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CGT territoriaux Amiens

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CGT Finances publiques 51

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Conseiller du salarié 51

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Observatoire des Risques PSycho - Sociaux au sein de la Fonction publique territoriale

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Pour un management alternatif

3 mai 2017 3 03 /05 /mai /2017 06:54

Les agents publics sont les « parents pauvres » du système de santé, alerte la Mutualité fonction publique (MFP), qui a calculé que 6 agents sur 10 ne perçoivent en moyenne qu'1,60 euro par an de leur employeur pour leur cotisation à une complémentaire, contre 244 euros pour les salariés du privé.

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29 novembre 2016 2 29 /11 /novembre /2016 12:48

Un peu d'humour.

Vidéo: état d'avancement des négociations salariales à Reims métropole

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14 novembre 2016 1 14 /11 /novembre /2016 16:08
Salle des fêtes de l'hôtel de Ville...

Salle des fêtes de l'hôtel de Ville...

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8 novembre 2016 2 08 /11 /novembre /2016 12:55
Tract Des agents de la mairie de Reims, de Reims métropole du CCAS et de la Caisse des écoles, avec le soutien des syndicats CGT et CFDt

Tous ensemble en grève devant l’Hôtel de Ville lundi 14 novembre à partir de 13h30

 

Depuis plusieurs semaines, nous nous mobilisons pour obtenir 100 € net minimum pour tous, sans condition. Cette revendication est justifiée par la baisse de notre pouvoir d’achat depuis plusieurs années et par le  blocage des salaires.

Après 2 assemblées générales du personnel et un débrayage de près de 300 agents devant l’Hôtel de Ville, la direction générale a reculé mais en ne répondant que très partiellement à nos revendications. Augmentation, certes, des montants proposés et réduction de la portée de la « conditionnalité » MAIS :

  • Propos mensongers dans sa lettre CAPRH et dans la presse locale ! Nous sommes loin du montant demandé : la prime annuelle que la municipalité propose ne s’élève qu’à 400 € brut soit environ 30 € net par mois.
  • Une prime cache-misère : comprenons bien que celle-ci n’est en fait qu’une petite compensation du prochain allongement des durées des carrières, rien de plus !
  • Manœuvre pour diviser le personnel en proposant des sommes différentes en fonction des catégories !

Si la direction générale veut donner plus que les 100 € à certaines catégories, qu’elle le fasse,  POURVU QUE NOUS AYONS TOUS AU MOINS 100 € NET D’AUGMENTATION. Quant à la « conditionnalité », comme la direction générale le reconnaît, cela ne concernerait que quelques agents. Il n’y a donc aucune raison qu’elle s’obstine sur ce point.

Tout ce que nous avons obtenu jusqu’ici, nous l’avons obtenu par notre mobilisation. Elle doit maintenant s’amplifier. Nous proposons donc une nouvelle grève le lundi 14 novembre après-midi, jour du Conseil Municipal. Nous nous rassemblerons devant l’Hôtel de Ville à partir de 13h30 et nous irons manifester au centre-ville. Il faut que nous discutions le plus largement possible de cette nouvelle action dans nos services afin de faire sentir à la direction générale notre détermination à obtenir les 100 euros net par mois pour tous.

Des agents de la mairie de Reims, de Reims métropole du CCAS et de la Caisse des écoles, avec le soutien des syndicats CGT et CFDT

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2 novembre 2016 3 02 /11 /novembre /2016 21:52
Quel dialogue social ?

Le chamboulement des relations professionnelles en France continue.

D’un côté l’État dit vouloir moderniser les relations sociales pour les rendre plus efficaces, tout en cherchant à contourner les régulations centralisées, le Code du travail voire les forces syndicales elles-mêmes via le recours accru au référendum d’entreprise.

De l’autre, le patronat qui trouve que les réformes ne vont jamais assez loin dans la dérégulation en matière de flexibilisation des emplois et de réduction des coûts du travail.

Enfin, un syndicalisme quelque peu divisé, mais aussi écorné par des pratiques quotidiennes antisyndicales dans nombre d’entreprises ou d’administration : promotion des cadres syndicaux potentiels, ségrégation des syndicalistes répression...

Dans ce chantier permanent, où l’on débat aussi de la représentativité des organisations syndicales des salariés et des patrons, un empilement de textes rend illisible le principe d’articulation des niveaux de la négociation et la possibilité ou non de déroger à un accord de niveau supérieur.

Enfin, les gouvernements successifs font glisser les enjeux des négociations collectives de branche – là où la représentation syndicale est instituée – vers le « dialogue social » d’entreprise, là où les syndicats sont quelques fois affaiblis, voire inexistants dans les plus petites. Le rejet de la loi Travail en 2016 repose largement sur ce refus du transfert des lieux de négociations essentielles : en effet, en France, le syndicalisme d’entreprise est bien moins établi que dans les pays anglo-saxons par exemple.

Le Corpus de ce numéro de La Nouvelle Revue du Travail analyse finement les significations de la priorité accordée aux négociations d’entreprise à partir de quelques cas emblématiques. Il donne aussi la parole à deux juristes expertes en la matière avant de proposer un texte inédit en français de J. T. Dunlop et W. F. Whyte sur les relations professionnelles dans l’Amérique de l’après-guerre.


La Controverse a quelques liens avec ce Corpus puisqu’elle traite de la situation structurelle du chômage en France et de l’éventuel retour vers le plein emploi, en interrogeant la nature de ce plein emploi. Trois économistes aux orientations très contrastées analysent les causes du chômage et proposent des issues : des solutions libérales à celles accompagnant une autre croissance en passant par le keynésianisme, le lecteur se trouve confronté à un impossible dialogue.

C’est aussi sur l’emploi que porte la rubrique Champs et contrechamps, en décortiquant deux documentaires (Pôle emploi ne quittez pas et Les Règles du jeu) sur deux services d’aide au retour à l’emploi. Deux modalités, l’une publique, l’autre privée, toutes deux financées par le service public, avec deux types d’approches et des moyens inégaux : de quoi percevoir la « modernisation » en cours des services publics et les défaillances qui en découlent pour les agents comme pour les usagers.


La rubrique Varia revient, dans deux articles, sur la précarité et surtout sur ses fondements puis sur sa gestion dans deux secteurs bien différents : le travail ouvrier sur les pistes aéroportuaires, de plus en plus sous-traité, et le développement des indépendants dans le transport routier en Espagne, lequel conduit l’auteur à défendre le concept d’auto-exploitation.

Dans Matériaux, nous interrogeons longuement Jean, ancien cadre dirigeant devenu ébéniste : qu’est-ce que manager dans une multinationale ? Avec une formation de Gadzarts, comment, en même temps, faire face aux difficultés quotidiennes du terrain et affronter PDG et actionnaires ? Enfin une quinzaine de recensions ou de notes de lecture présentent des ouvrages que nous avons eu plaisir à discuter.

Corpus – Quel « dialogue social » ?

  • Arnaud Mias, Cécile Guillaume, Jean-Michel Denis et Paul Bouffartigue
    Présentation du Corpus
  • Aline Bingen
    L’effet de la loi Renault en Belgique
    Controlling time when mass redundancies are announced : impact of the “Renault Act” in Belgium
    Control del tiempo al anunciarse despidos colectivos : el efecto de la “ley Renault” en Bélgica
  • Frédéric Rey
    Un demi-siècle d’institutionnalisation du dialogue social territorial à destination des TPE
    A universal right to representation? 50 years of institutionalised local social bargaining in SMEs
    ¿Un derecho universal a la representación? Medio siglo de institucionalización del diálogo social territorial para las Muy pequeñas empresas
  • Baptiste Giraud et Rémy Ponge
    Des négociations entravées [Texte intégral]
    Les ressorts ambivalents de l’institutionnalisation de la négociation collective en entreprise
    Hampered negotiations : Ambivalent determinants of institutionalised collective bargaining in companies
    Negociaciones atoradas. Los resortes ambivalentes de la institucionalización de la negociación colectiva en las empresas
  • Jean Vandewattyne
    Ryanair or the refusal of institutionnalised social dialogue
    Ryanair o la negativa al diálogo social institucionalizado
  • Sylvaine Laulom, Cécile Nicod, Arnaud Mias, Cécile Guillaume, Jean-Michel Denis et Paul Bouffartigue
    Entretien avec Sylvaine Laulom et Cécile Nicod
    To promote “social dialogue” in companies. Rebsamen law and Combrexelle report
    Promover el “diálogo social” en las empresas. Ley Rébsamen y informe Combrexelle
  • John T. Dunlop, William F. Whyte et Arnaud Mias
    John T. Dunlop et William F. Whyte (texte publié en 1949)
    Framework for the Analysis of Industrial Relations : Two Views
    Dos enfoques para el análisis de las relaciones laborales
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2 novembre 2016 3 02 /11 /novembre /2016 13:48
Chalons, Touche pas à mon... 13e mois, AG vendredi 4 novembre
Les représentants de la CGT de la Ville de Chalons, de la CAC et du CCAS

Les représentants de la CGT de la Ville de Chalons, de la CAC et du CCAS

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2 novembre 2016 3 02 /11 /novembre /2016 13:26
Le mouvement social rémois dans la presse nationale et locale

Le mouvement social rémois dans la presse nationale et locale: Aujourd'hui & L'Union.

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26 octobre 2016 3 26 /10 /octobre /2016 15:20
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25 octobre 2016 2 25 /10 /octobre /2016 12:24
Délégation de la CGT et de l'UFICT CGT

Délégation de la CGT et de l'UFICT CGT

        

 

Réunion employeur – coordination CGT des administrations territoriales rémoises

21.10.2016

 

I/ un mouvement social en cours, qu’il convient d’entendre

 

Il y a en cours un mouvement social qui se caractérise par l’irruption de 1200 agents pétitionnaires dans le débat salarial. Deux Assemblées Générales ont rassemblé pour la 1ère 200 agents et cadres, puis 300 pour la seconde. Une grève a réuni  300 participants. Enfin; une intersyndicale inédite dans la largeur de son spectre et de sa composition a été constituée.

 

Lors du rassemblement du 13 octobre, les grévistes ont :

  • Réitéré leurs revendications construites collectivement : rémunération directe et indirecte

  • Demandé un CT commun

  • Reconduit leurs modalité d’actions

A cet effet, ils ont demandé aux syndicats de créer les conditions juridiques permettant un nouveau rassemblement ou débrayage.

 

La CGT a pris ses responsabilités et déposé en conséquence un préavis de grève reconductible.

 

Conformément à son obligation juridique, l’employeur a invité la CGT à une rencontre. Le respect de cette obligation en l’espèce est double.  En effet, pour une fois, contrairement à des habitudes préjudiciables, il n’a invité que l’organisation signataire du préavis. Cela est à noter. S’agit-il d’un début de compréhension de la vacuité et de l’inutilité de rencontres avec des organisations syndicales d’accompagnement qui ne représentent pas le mouvement social ?

 

II/ Une rencontre pour faire avancer les revendications

 

Il s’agit pour l’UFICT CGT (la coordination) de profiter de cette rencontre pour faire avancer les revendications portées par les 1200 pétitionnaires et 300 grévistes.

 

A cet effet, nous rappelons :

  1. la teneur de ces revendications, construites collectivement

  2. le fait que la CGT a nourri la réflexion de ce mouvement depuis plus d’une année par ses positons syndicales quant au RIFSEEP, la fin d’avancement d’échelon et le PPCR

III/ Obtenir des précisions, poser des questions

 

Il s’agit également d’obtenir des précisions quant aux propositions de l’employeur, afin de vérifier que celles-ci, au-delà de leur présentation officielle, correspondent ou non aux revendications des agents et cadres.

 

Notre démarche n’a pas pour point de départ les propositions de l’employeur mais le mandat social et revendicatif qui nous a été conféré tant par les pétitionnaires que les grévistes, c.-à-d. leurs attentes. Nous y intégrons notre propre réflexion syndicale.

 

Voici nos principales demandes :

 

Comment se décompose l’enveloppe de 4.7 millions d’€ ? Combien pour le RI ? Combien pour la mutuelle ? Combien pour l’évolution du point d’indice qui doit être délié du dispositif ?

 

Une attribution de 100 € pour tous sur 13 mois nets représente a minima  5 millions d’€. 4.7 millions ne sont-ils pas insuffisants ? Pourquoi cette différence entre calculs de l’employeur et calculs de l’UFICT ?

 

Y-aura-t-il un dispositif de compensation de la fin de l’avancement d’échelon a minima ? Total ou partiel ? Si partiel quel taux ?

 

Y-aura-t-il un dispositif de compensation du PPCR ? Total ou partiel ? Si partiel quel taux ? Un mécanisme d’adaptation aux évolutions non encore actées (ex catégorie A administrative avec la fin du grade de directeur territorial) ?

 

Dans la délibération, y aura-t-il un mécanisme explicite de maintien du Régime indemnitaire pour tous les agents, ce maintien étant menacé par le RIFSEEP (article 6 du décret RIFSEEP, le maintien ne vaut que pour une année).

 

Y-aura-t-il un alignement dès le 1er janvier par le haut pour les agents transférés en termes de RI et de rémunérations indirectes, avantages acquis ?

 

La délibération fera-t-elle référence au RIFSEEP ?

 

Contiendra-elle des mécanismes de neutralisation des effets pervers de ce dispositif ? Une absence de conditionnalité (manière de servir, maladie, mobilité) ?

 

Pourquoi attendre 2019 pour la mutuelle ? Notre santé se dégrade actuellement sous l’effet de la détérioration des conditions de travail et managériales, sous l’effet des politiques gouvernementales cassant la  santé et la financiarisant.

 

Un comité technique commun Ville de Reims et RM sera-t-il organisé spécifiquement sur le RI ?

 

Des précisions nous en avons aussi à donner : dans les discussions avec les grévistes et les pétitionnaires pointent : changement organisationnel et RPS dans le cadre du Grand Reims, conditions de travail, management, moyens du service public, le développement des précaires, l’absence de débouché du processus RPS, largement verrouillé en interne. 

 

Le malaise social s’installe et il dépasse de loin la question de la rémunération.

 

 

 

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25 octobre 2016 2 25 /10 /octobre /2016 12:13

Coordination CGT des services publics territoriaux rémois

CGT CCAS, CGT RM, CGT Ville et UFICT-CGT RM

 

La CGT s’est rendue vendredi 21 octobre à la réunion statutaire dans le cadre du dépôt du préavis de grève qu’elle a déposé afin de permettre aux agents de se mobiliser pour obtenir 100 € net minimum par mois dans le cadre des négociations sur le régime indemnitaire.

 

Après deux assemblées générales qui ont réuni 200 puis 300 agents, après avoir fait signer une pétition qui a réuni plus de 1 200 signatures, après que près de 300 agents aient débrayé le 13 octobre devant l’Hôtel de Ville, l’autorité territoriale et la direction générale refusent d’entendre la légitime revendication des agents.

 

Certes, la mobilisation a réussi à faire bouger un peu les lignes et à faire en sorte que quelques améliorations aient pu aboutir par rapport aux premières propositions du mois de septembre. Ces premières améliorations n’ont qu’une seule cause : la mobilisation des agents.

 

 

Mais nous sommes encore loin de la revendication votée collectivement à savoir 100 € net par mois minimum pour tout le monde sans condition.

 

La CGT s’est donc rendue à la réunion vendredi pour savoir où en étaient les demandes des agents.

 

La réponse de la direction générale a été simple : le montant de la prime annuelle versée à tous est maintenu à 400 € brut pour 2017.

 

Dans ce cadre, nous pouvons d’ores et déjà indiquer qu’un appel à la grève aura lieu en novembre.

 

Nous appellerons toutes les organisations syndicales qui le souhaitent à nous rejoindre.

 

Nous communiquerons sur cet appel à la grève dès la rentrée et nous nous déploierons dans les services pour faire en sorte que cette mobilisation soit réussie.

 

 

Coordination CGT des services publics territoriaux rémois

CGT CCAS, CGT RM, CGT Ville et UFICT-CGT RM

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