Jusqu’à présent le Comité d’Action Sociale assurait directement le traitement des prestations de secours aux agents et cadres de Reims métropole.
Il n’en sera plus ainsi. Le service social du personnel (DRH) sera désormais en charge de cette action.
Cette décision a reçu curieusement l’avis favorable de la CGT et de son UFICT qui considèrent que le nouveau dispositif sera meilleur pour les agents qui bénéficieront désormais des conseils et de l’appui de professionnels de l’action sociale, garant d’un traitement égalitaire, confidentiel et équitable.
Ainsi, les grilles d’analyse de la situation socio-économique et les critères afférents seront connus de tous, en toute clarté.
La CGT et l’UFICT ont obtenu, néanmoins des précisions et des gardes fous :
• Le montant de l’enveloppe est a minima de 34 200 e retirés au CAS. La réactualisation de cette enveloppe se fera sur des crédits RH qui ne viendront pas amputé le budget du CAS.
• Les agents du service social en charge de la régie idoine, dès lors qu’ils rempliront les conditions réglementaires et législatives, bénéficieront de la NBI régisseurs.
• La mise en place d’un tableau semestriel d’informations transmis aux organisations présentes en Comité technique.
Nous avons demandé l’extension du dispositif aux vacataires et aux emplois d’avenir travaillant au sein de Reims métropole mais employés par le GEDA. Sur ce dernier point, nous avons essuyés un refus.
Nous avons contesté une formulation relative à tout contentieux dans le refus d’un secours.
Enfin, lors d’une réunion avec la DRH, en novembre, nous avions demandé que le dispositif soit évalué à six mois avec si nécessaire un renfort en moyens humains.
Dossier présenté en CT
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